Russell : "Il faut accepter que c'est notre niveau"

F1. Classés septième et huitième, les deux pilotes Mercedes semblent être résignés au fait qu'il s'agit de leur classement normal à l'heure actuelle. Mais les voies d'améliorations sont clairement identifiées.

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George Russell ne pense pas pouvoir faire mieux que 7ème
© Mercedes / George Russell ne pense pas pouvoir faire mieux que 7ème

Après avoir été éliminés dès la Q2 des Qualifications Sprint, George Russell et Lewis Hamilton ont cette fois-ci réussi à participer à la dernière séance des qualifications ce samedi après-midi. Leur classement final est somme toute honorable, avec George Russell 7ème, juste devant Lewis Hamilton.

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Lors de sa rencontre avec la presse à l'issue de la séance, George Russell se montrait fataliste sur le niveau actuel de Mercedes : « En tant qu'équipe, il faut que nous acceptions que 7ème et 8ème est notre niveau actuel. »

A l'inverse des deux précédentes monoplaces produites par Mercedes, définies comme des divas, celle de 2024 semble plus facile à évaluer : « Maintenant, nous savons clairement quelles zones de la voiture doivent être améliorées. Nous avions des problèmes l'an dernier. L'équipe a tellement travaillé pour les corriger que, je pense, qu'on a surcompenser, nous sommes allés trop loin de l'autre extrême. Ce n'est donc pas une surprise que nous nous retrouvions dans cette position. » Ainsi alors que l'année dernière, c'était l'arrière de la voiture qui ne répondait pas aux exigences des pilotes, c'est désormais l'avant qui ne comporte pas comme il faut dans les virages à faible allure.

Le pilote est bien conscient que le processus d'améliorations de sa monoplace va prendre du temps puisqu'il faut que les nouvelles pièces soient dessinées, évaluées en soufflerie, physiquement fabriquées, puis assemblées sur la voiture : « On parle de plusieurs semaines, de plusieurs courses mais au moins, nous savons pourquoi on a des problèmes, nous ne sommes pas perdus et on a une claire direction pour avancer. »

Il s'agit donc de gérer les attentes et d'être réalistes : « Aujourd'hui, nous avons la quatrième voiture la plus rapide le samedi après-midi et pas loin d'être la troisième voiture la plus rapide le dimanche après-midi. C'est la réalité. »

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