Même après plus de 300 GP, le plaisir est toujours là pour Lewis Hamilton

F1. En Formule 1 depuis 2007, Lewis Hamilton confie que le plaisir de pilotes est toujours là. Quelques fois, il lui arrive de ne pas réaliser la chance qu'il a. Il compare les sensations offertes par une F1 à celles d'un avion de chasse.

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Lewis Hamilton en est à sa 18e saison en F1.
© Motors Inside / Alexis Perrin / Lewis Hamilton en est à sa 18e saison en F1.

Il est, avec Fernando Alonso, l'un des dinosaures du paddock. Présent depuis 17 ans maintenant, le Britannique va bientôt boucler sa 18e saison en Formule 1. Avec plus de 300 Grand Prix à son actif, on pourrait penser que Lewis Hamilton pourrait se lasser. Bien au contraire.

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La passion est toujours présente chez l'actuel pilote Mercedes. Même s'il reconnaît s'être habitué à la vitesse des monoplaces. « Je pense que comme pour tout, on s'y habitue. Donc quand on accélère dans le virage 1 en sortant de la voie des stands, on n'a pas peur parce que ça fait partie de ce qu'on fait. Mais je ne sais pas comment c'est pour les autres. Mais pour moi, personnellement, quand je suis attaché la première fois et qu'ils démarrent la voiture, j'ai la même sensation intérieure. Et puis quand tout le monde retire les couvertures de pneus et que tu sors dans la voie des stands et que tu t'engages dans le virage 1 et que tu fais ton premier tour, je ressens toujours un énorme frisson », a-t-il reconnu en conférence de presse.

Le Britannique aimerait partager les sensations de piloter une Formule 1 avec le plus grand nombre pour que tout le monde comprenne ce que l'on puisse ressentir dans ces machines. « C'est vraiment quelque chose que j'aimerais que vous puissiez tous ressentir et vivre. »

Le septuple champion du monde a indiqué que s'il venait à plus prendre de plaisir au volant des F1, il arrêterait tout simplement. Mais pour retrouver des sensations similaires, il se tournerait vers les avions de chasse, « ou quelque chose de très bas ou quelque chose comme ça ».

Des propos qui ont été partagés par Nico Hülkenberg. Lui aussi fait partie des anciens du paddock et a connu différentes générations de voitures. Et s'il devait retenir une seule chose parmi toutes les machines qu'il a eues entre les mains, c'est le tour de qualification. « Vous savez, quand vous êtes à la limite, parfois au-dessus de la limite, que vous jouez avec elle, vous devez juste faire en sorte que tout se passe bien. Mais lorsque vous prenez un virage à fond, vous avez une impression de fierté et vous vous dites "Ok, c'était incroyable. J'ai réussi". »

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