F1

Grand Prix de Monaco 2025 : les chiffres clés d'un week-end mythique

Du 23 au 25 mai, la Formule 1 fait escale à Monaco pour la 71e édition de son Grand Prix le plus emblématique. Entre statistiques historiques et nouveautés stratégiques, voici quelques chiffres clés à savoir sur ce Grand Prix.

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Grand Prix de Monaco
© Motorsinside / Grand Prix de Monaco

Le circuit de Monaco, long de 3,337 km, est le plus court et le plus lent du calendrier de la Formule 1. Composé de 78 tours, la distance totale de la course est de 260,286 km. Avec ses 19 virages emblématiques tels que Sainte Dévote, le Casino, le Tunnel ou la Rascasse, il offre un défi technique majeur aux pilotes.

La vitesse moyenne en course est d'environ 160 km/h, avec seulement 34 % du tour parcouru à pleine charge. Le virage le plus lent, l'épingle du Grand Hôtel, est négocié à seulement 45 km/h.

Les chiffres clés du Grand Prix de Monaco

1 : Le nombre de victoires à domicile pour Charles Leclerc, héros local vainqueur en 2024 avec Ferrari.

3,337 : En kilomètres, la distance d'un tour du circuit, le plus court du calendrier.

6 : Record de victoires sur le Rocher, détenu par Ayrton Senna (1987, 1989 à 1993).

15 : Le nombre de victoires décrochées par McLaren, écurie la plus titrée à Monaco.

19 : Le nombre de virages du tracé, parmi lesquels Sainte Dévote, le Casino ou encore la Rascasse.

34 % : Portion du tour parcourue à pleine charge, un chiffre très bas comparé aux autres circuits.

45 : En km/h, la vitesse dans l'épingle du Grand Hôtel, le virage le plus lent de la saison.

71 : Le nombre d'éditions du Grand Prix de Monaco comptant pour le championnat du monde de F1.

78 : Le nombre de tours à boucler pour rallier l'arrivée, soit une distance totale de 260,286 km.

1:10.166: Record de la pole position, signé par Lewis Hamilton en 2019.

1:12.909 : Record du tour en course, établi par Lewis Hamilton en 2021.

160 : Vitesse moyenne (en km/h) observée en course sur ce tracé sinueux.

2025 : Une première : deux arrêts au stand seront obligatoires pour chaque pilote, indépendamment de la météo. Tim Goss (Racing Bulls) sur cette nouvelle règle : « L'idée est de contraindre les écuries à effectuer des choix stratégiques, et donc à prendre des risques. »

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