Le circuit Paul Ricard accueillera les 25, 26 et 27 avril 2025 le Grand Prix de France Historique. L'occasion pour tous les passionnés de se rassembler pour un évènement familial et convivial qui accueillera des Formule 1 d'époques mais surtout une invitée très spéciale.
Présent de 2018 à 2022 au calendrier de la Formule 1, le Grand Prix de France a disparu depuis deux saisons, en raison notamment de problèmes financiers. Il laisse sur son passage, une dette de 32 millions d'euros qui reste à régler. Une enquête a été ouverte par le parquet de Marseille, en septembre dernier, pour "favoritisme" "détournement de fonds publics" et "recel". Explication.
Le Grand Prix de France Historique est parmi les grands événements internationaux du monde automobile, il aura lieu du 19 au 21 avril prochain sur le Circuit Paul Ricard.
L'évènement majeur du mois d'avril sur le circuit Paul Ricard sera la 6ème édition du Grand Prix de France historique organisé par HVM Racing. L'occasion pour les fans de découvrir d'anciennes gloires de la catégorie reine du sport auto. Rendez vous est donc pris les 19, 20 et 21 avril 2024.
Le Grand Prix de France a manqué à l'appel cette saison en 2023, après qu'il ait fait son retour en 2018 au circuit Paul Ricard, au Castellet. Pour l'occasion, un Groupe d'Intérêt Public s'était formé pour organiser et financer l'évènement, avec comme participante la ville de Nice, qui annonce aujourd'hui avoir payé ce qu'elle devait.
Alors qu'Emmanuel Macron a indiqué récemment soutenir le projet de retour d'un Grand Prix de France au calendrier de la Formule 1, le pilote Alpine Esteban Ocon s'est réjoui de la nouvelle.
Depuis plusieurs jours, les espoirs de revoir la F1 en France sont grandissants. Si la discipline était liée au circuit Paul-Ricard ces dernières années, elle pourrait revenir à Magny-Cours, terre de la F1 en France pendant de nombreuses années. Le maire de Nevers se porte candidat.
La Formule 1 pourrait faire un retour en France. C'est le souhait d'Emmanuel Macron qui a demandé à Christian Estrosi de mettre en place une mission chargée d'étudier les solutions pour un retour de la F1 en France.
La 2 juillet 1972, le circuit de Charade était l'hôte du Grand Prix de France pour la quatrième et dernière fois. Au terme de cette course, remportée par Jackie Stewart, Helmut Marko doit tirer un trait sur sa carrière.
Au cœur de la pitlane du circuit de Monaco, Jean Alesi nous a accordé une interview où il se livre notamment sur ce que représente ce circuit pour lui.
Le Belge était présent au circuit de Charade ce dimanche 21 mai à l'occasion du Charade Super Show. Le vice-champion du monde 1969 a pris le volant d'une Ford GT40 sur le tracé historique. De quoi lui rappeler des souvenirs...
Le Grand Prix de France a été supprimé du calendrier 2023 de la F1, dans un contexte où des nouveaux concurrents émergent pour concurrencer les anciens circuits européens. De plus, la catégorie reine du sport auto accroît son attrait mondial pour de nouveaux territoires.
Le Grand Prix de Miami n’a vu aucun abandon durant la course. Un fait rare qui n’a eu lieu que 13 fois dans l’histoire de la F1, dont 9 depuis l’ère hybride.
Pour le président du circuit Paul Ricard, Jean Alesi, l'idée d'une alternance avec un autre pays pour revoir le Grand Prix de France, est envisageable.
Le week-end de Pâques a été le théâtre de la cinquième édition du Grand Prix de France Historique. L’occasion pour les passionnés de revivre les grandes heures de la F1.
Le championnat du monde de Formule 1 ne fera pas escale cette année sur le circuit Varois. Malgré tout, des F1 ainsi que d'autres monoplaces limeront le Paul Ricard lors du Grand Prix de France Historique qui aura lieu du 7 au 9 avril 2023.
A l'occasion du Grand Prix de France Historique qui aura lieu du 7 au 9 avril, l'Avignonnais Jean Alesi retrouvera la compétition en endurance au volant d'une Lotus Elan 26R de 1965.
Jean Alesi, fraichement nommé Président du circuit Paul-Ricard, garde espoir de revoir les pilotes au Castellet mais regrette un manque de soutien de l’Etat français.
Il devait être dissous le 31 décembre, la date est finalement repoussée. Le Groupement d'intérêt public qui gérait le Grand Prix de France accuse une dette de 27 millions d'euros, ce qui explique ce report.
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