
Qualifié en deuxième position juste derrière Sam Bird, di Grassi n'a laissé à aucun pilote le soin de mener et de remporter le premier ePrix de Paris.
Dés le départ, le Brésilien a pris une meilleure impulsion que le Britannique, lui permettant de se présenter en premier à l'intérieur du virage 1. Pourtant, tout n'a pas été aussi simple que l'on pourrait le croire.
Pour notre vainqueur de l'épreuve, c'était « le départ le plus difficile de la saison. Les conditions météo étaient très difficiles, avec cette faible température » (une quinzaine de degrés sur la piste)« il a fallu chauffer les pneus au mieux. J'ai pris un meilleur départ comparé à Bird, j'ai pu tout de suite le mettre dans mes rétroviseurs !
J'ai dû aussi gérer la perte de températures des pneus notamment au moment des ralentissements. »
La suite de l'aventure n'en a été que plus réjouissante pour di Grassi qui n'a jamais été réellement
inquiété même si Jean-Eric Vergne avait semble t-il une stratégie pour la fin de la course
Mais grâce à l'accident de Qing Ma, l'arrivée a été une simple procession, déboulant ainsi en triomphe à l'issue du 45e passage sur le Boulevard des Invalides.
À l'unisson de l'état d'esprit général des pilotes, cette course fera date.
« Pour être honnête, concourir à Paris est quelque chose de fantastique. C'était un show exceptionnel dans le cœur de l'une des plus belles villes du monde. J'espère que nous piloterons encore longtemps ici. »
Rien ne semble donc arrêter en ce moment Lucas di Grassi. Le leader du classement s'est même permis de se comparer aux grands champions de la Formule 1 de sa génération : Sebastian Vettel et Lewis Hamilton. Tous les trois sont effectivement nés entre l'année 1984 et l'année 1987.
En marge de ce week-end parisien, di Grassi avait effectivement déclaré que le pilote Ferrari et le pilote Mercedes rencontreraient des difficultés à s'adapter aux particularités de la Formule E.
« Malgré le fait qu'ils soient les meilleurs pilotes de notre génération, je suis convaincu qu'ils trouveraient la Formule E exigeante. Ils auraient à apprendre les pistes, qui sont toutes nouvelles et urbaines, ce qui veut dire que vous ne pouvez guère vous entrainer directement sur celles-ci. »
« Je pense que je vais prochainement les inviter à venir faire une course avec nous, histoire de voir comment cela se passerait pour eux. Je suis sûr qu'il y aurait une véritable compétition. »
Mais il n'est pas garanti que les deux pilotes acceptent l'invitation. À ce propos, Sebastian Vettel s'était monté très sceptique en 2014, soit au moment de la création du projet Formule E. Il avait d'ailleurs admis « ne pas du tout apprécier la discipline. Avec ces voitures vous n'entendez pas de bruit, juste du vent. Vous ne ressentez rien avec ce genre de voiture. »
Dés le départ, le Brésilien a pris une meilleure impulsion que le Britannique, lui permettant de se présenter en premier à l'intérieur du virage 1. Pourtant, tout n'a pas été aussi simple que l'on pourrait le croire.
Pour notre vainqueur de l'épreuve, c'était « le départ le plus difficile de la saison. Les conditions météo étaient très difficiles, avec cette faible température » (une quinzaine de degrés sur la piste)« il a fallu chauffer les pneus au mieux. J'ai pris un meilleur départ comparé à Bird, j'ai pu tout de suite le mettre dans mes rétroviseurs !
J'ai dû aussi gérer la perte de températures des pneus notamment au moment des ralentissements. »
La suite de l'aventure n'en a été que plus réjouissante pour di Grassi qui n'a jamais été réellement
inquiété même si Jean-Eric Vergne avait semble t-il une stratégie pour la fin de la course
Mais grâce à l'accident de Qing Ma, l'arrivée a été une simple procession, déboulant ainsi en triomphe à l'issue du 45e passage sur le Boulevard des Invalides.
À l'unisson de l'état d'esprit général des pilotes, cette course fera date.
Two winners on this picture: @LucasdiGrassi for the race and Alejandro Agag for making the #ParisePrix possible! pic.twitter.com/3VXidIHP1j
— ABT Formula E Team (@abt_formula_e) April 23, 2016
« Pour être honnête, concourir à Paris est quelque chose de fantastique. C'était un show exceptionnel dans le cœur de l'une des plus belles villes du monde. J'espère que nous piloterons encore longtemps ici. »
Rien ne semble donc arrêter en ce moment Lucas di Grassi. Le leader du classement s'est même permis de se comparer aux grands champions de la Formule 1 de sa génération : Sebastian Vettel et Lewis Hamilton. Tous les trois sont effectivement nés entre l'année 1984 et l'année 1987.
En marge de ce week-end parisien, di Grassi avait effectivement déclaré que le pilote Ferrari et le pilote Mercedes rencontreraient des difficultés à s'adapter aux particularités de la Formule E.
« Malgré le fait qu'ils soient les meilleurs pilotes de notre génération, je suis convaincu qu'ils trouveraient la Formule E exigeante. Ils auraient à apprendre les pistes, qui sont toutes nouvelles et urbaines, ce qui veut dire que vous ne pouvez guère vous entrainer directement sur celles-ci. »
« Je pense que je vais prochainement les inviter à venir faire une course avec nous, histoire de voir comment cela se passerait pour eux. Je suis sûr qu'il y aurait une véritable compétition. »
Mais il n'est pas garanti que les deux pilotes acceptent l'invitation. À ce propos, Sebastian Vettel s'était monté très sceptique en 2014, soit au moment de la création du projet Formule E. Il avait d'ailleurs admis « ne pas du tout apprécier la discipline. Avec ces voitures vous n'entendez pas de bruit, juste du vent. Vous ne ressentez rien avec ce genre de voiture. »
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