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Indycar. Pourquoi faut-il suivre l'IndyCar cette année ?

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Pourquoi faut-il suivre l'IndyCar cette année ?

Indycar. Le 29 mars sonnera le départ de la saison 2015 d’IndyCar, la Formule 1 version US, dans les rues de St Petersburg. Quelles en sont les particularités et pourquoi faut-il suivre cette discipline ?

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Un départ en ville, 24 pilotes, 16800 chevaux !
© IndyCar / Chris Jones / Un départ en ville, 24 pilotes, 16800 chevaux !

L’IndyCar, c’est LA compétition de monoplace en Amérique du Nord. Elle a connu différents noms à travers les années… et les scissions. En 2008, le Champ Car et l’IRL fusionnent et donnent naissance à l’IndyCar. Que représente-t-elle d’intéressant ?

Les circuits
Tout le monde connait les 500 miles d’Indianapolis. Cette course unique en son genre, sur un ovale (rectangulaire) de 4 km de long, est une des plus vieilles courses au monde. Mais le calendrier IndyCar 2015 ne se résume pas à des virages à gauche. Les ovales représentent un tiers des courses, les routiers (sur circuit) représentent un autre tiers, et le reste sont des courses en ville, avec peu de dégagements et beaucoup de murs en béton.

Le châssis unique
Comme dans les séries monotypes (GP2, Formule Renault 3.5, etc), le châssis Dallara est commun à tous les compétiteurs. Un châssis unique permet d’assurer le resserrement des performances de tout le plateau. Il est plus lourd qu’une Formule 1, moins agile, mais assez évolué pour donner du spectacle... et accessoirement pour que les pilotes s'amusent.

Le moteur : la puissance
Il y a deux motoristes, Honda et Chevrolet. Sur le papier, comme en piste, les performances des deux blocs V6 2,2 litres bi-turbos sont très proches. Ils sont bridés à près de 700 chevaux sur les circuits routiers et à 550 ch sur les grands ovales ;les super speedway. Même bridés, ces moteurs autorisent tout de même des vitesses de plus 380 km/h.

IndyCar

Le moteur : le son !
C’est vraiment différent de la Formule 1 : le sentiment de puissance d’une voiture (qui plus est de compétition) est un critère primordial aux États-Unis. Dès son introduction, le V6 n’a jamais été critiqué sur ce point. Pour 2015, les échappements ont été retravaillés et renforcent l’image de puissance et de performance des monoplaces.

Le moteur : le Push-to-Pass
Les Américains ne s’embêtent pas à chercher des noms ;le Push-to-Pass est tout simplement un bouton, situé sur le volant, qu’il faut pousser pour gagner quelques chevaux moteur afin de passer un adversaire. Il y a un quota de 10 Push-to-Pass sur une course (hors ovale).

Les kits aérodynamiques
La grande nouveauté cette année est l’introduction de kits aéros spécifiques à chacune des marques. Chevrolet et Honda ont développé deux visions différentes de l’aérodynamisme de leurs voitures. Mais au final, lors des tests d’avant saison, les performances des deux constructeurs étaient assez proches malgré une petit domination de Chevrolet.

Will Power, St Petersburg, IndyCar

Les pilotes
Là… on a du lourd. En 2014 il y a eu 11 vainqueurs différents sur les 18 courses du calendrier IndyCar. Pendant les tests de Barber la semaine dernière, moins d’une seconde séparait le pilote le plus rapide de la 21ème place !

Dans la liste des inscrits on trouve :
- Scott Dixon : 35 victoires et 3 titres IndyCar,
- Sébastien Bourdais : 32 victoires et 4 titres de Champ Car,
- Will Power : 24 victoires et champion 2014,
- Helio Castroneves : 29 victoires dont 3 fois les 500 miles d’Indianapolis,
- Juan Pablo Montoya : 12 victoires, champion CART 1999 et 7 victoires en F1,
- Tony Kanaan : 17 victoires et champion 2004,
- Ryan Hunter-Reay : 14 victoires et champion 2012.

Il faut également noter la présence de :
- Simon Pagenaud : nouvel arrivant chez Penske, la plus grosse équipe du plateau. Le Français a joué le titre lors des 3 dernières saisons,
- Stefano Coletti : venant du GP2, le Monégasque a impressionné tout le monde, lors des essais d’avant saison, par sa rapidité à exploiter une nouvelle machine sur un circuit qu’il ne connaissait pas,
- Takuma Sato : le Japonais a 90 départs en Formule 1,
- Simona de Silvestro. La Suissesse revient d’une déception en Formule E et trouve refuge dans l’écurie Andretti Autosport. Elle aura sans doute la meilleur voiture de sa carrière en IndyCar.

Ces braves gaillard(e)s sont à suivre dès vendredi 27 mars, lors des essais du GP de St Petersburg, en streaming (officiel) sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=X2vT5bIaiBA et sur https://racecontrol.indycar.com/

Le Grand Prix sera diffusé dimanche soir, en direct, sur Canal+ Sport.

Scott Dixon, Chip Ganassi, IndyCar

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