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Fin de règne pour Audi

WEC. Pour la première fois depuis 2008, une Audi n’a pas triomphé au Mans. Mais les pilotes de la marque aux anneaux, beaux joueurs, reconnaissaient tous que leurs concurrents de Porsche avaient mérité leur victoire cette année.

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Audi a trouvé à qui parler cette année
© Audi Motorsport / Audi a trouvé à qui parler cette année

En 2014, Porsche n’était passée qu’à quelques heures d’une victoire étonnante. En 2015, la menace était bien plus sensible et Audi a dû finalement s’incliner, comme face aux Peugeot en 2008.

Néanmoins, après l’arrivée, les pensionnaires de la première Audi, la n°7 (distancée à plus de deux tours du leader), reconnaissaient que les meilleurs avaient triomphé, à l’image du Français Benoît Tréluyer : « Porsche nous a surpris sans nous surprendre. Disons que la dégradation des pneus n’a pas été aussi importante que lors des autres courses du WEC [Silverstone et Spa, remportés par l’Audi n°7]. On ne peut pas avoir toujours la chance de notre côté et aux 24 Heures du Mans, il en faut un peu. Mais on s’est vraiment battus, le spectacle a été top et on est quand même contents d’être sur le podium. »

Vainqueur lui aussi des deux premières épreuves de la saison, André Lotterer pointait du doigt la vélocité de sa monture : « On a fait du bon boulot, le tour le plus rapide [réalisé par l’Audi n°7], le montre. Personne ne s’en souviendra car c’est le vainqueur dont on se souvient. La course a été belle et Porsche a vraiment été très bon. »

Si Audi était au rendez-vous au niveau de la performance pure, c’est la fiabilité qui a étonnamment fait défaut au robuste constructeur allemand. Marcel Fässler le rappelait : « Nous avions la voiture la plus rapide, mais nous avons toujours connu plusieurs soucis... La crevaison d’Andre au début, le capot qui s’est détaché quand je conduisais… on a dû réparer et ça nous a fait perdre deux tours. Au Mans, quand tu vois la concurrence, si tu perds deux tours, c' est presque fini pour toi ... ».

L’équipage Lotterer-Tréluyer-Fässler reste cependant en tête du championnat du monde d’endurance, avec vingt-trois points d’avance sur le trio Lieb-Jani-Dumas (Porsche).

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