Le moteur de Leclerc à Bakou n’est pas récupérable
Le moteur de Charles Leclerc qui a lâché à Bakou n'est pas réparable a annoncé Ferrari. Le Monégasque fait désormais face à une pénalité en cas d'utilisation d'une quatrième unité de puissance.
Ferrari a confirmé dans un communiqué que le moteur de Charles Leclerc utilisé à Bakou n’était plus réutilisable. Le Monégasque a été contraint à l’abandon après une défaillance de son moteur. L’unité de puissance avait été envoyé à Maranello, à l’usine Ferrari, en début de semaine pour être examinée.
Au final, les ingénieurs ont expliqué que les dégâts sur le MGU-H et le turbo étaient trop importants pour être réparés. La Scuderia explique que la défaillance de Bakou pourrait découler de celle de Barcelone, qui avait là aussi privé Charles Leclerc d’une victoire.
« L’enquête a confirmé que l’unité de puissance de Charles à Bakou est irréparable. L’une des causes possibles de la défaillance est qu’elle est survenue à la suite du problème d’unité de puissance en Espagne. Nous travaillons maintenant sur des contre-mesures pour renforcer le groupe moteur et la situation est sous contrôle. » détaille la Scuderia.
Alors qu’il a déjà utilisé trois moteurs, Charles Leclerc va donc très probablement devoir utiliser une nouvelle unité de puissance, ce qui engendrera une pénalité de dix places sur la grille. Cela pourrait ainsi arriver dès ce week-end à Montréal. L’annonce officielle de la FIA est attendue très prochainement.
