Le directeur de Lotus envisage de démissionner
Le patron de l’équipe Lotus, Tony Fernandes n’a pas l’intention de rester dans son rôle sur le long terme puisqu’il a révélé qu’il se retirera peu après le début de la saison 2010. L’entrepreneur de l’aviation Malaisienne a été nommé patron de la nouvelle écurie Lotus, mais il souhaite passer le témoin à quelqu’un d’autre […]


Le patron de l’équipe Lotus, Tony Fernandes n’a pas l’intention de rester dans son rôle sur le long terme puisqu’il a révélé qu’il se retirera peu après le début de la saison 2010. L’entrepreneur de l’aviation Malaisienne a été nommé patron de la nouvelle écurie Lotus, mais il souhaite passer le témoin à quelqu’un d’autre dans les prochains mois.
« Ma position du directeur de l’équipe n’est pas figée dans le temps, » a-t-il déclaré à l’agence de presse Reuters. « Je vais guider l’équipe jusqu’à son entrée dans le championnat et puis quelqu’un prendra la suite à temps plein. Mon travail se concentre sur AirAsia et je veux juste m’assurer que Lotus parte dans le bon sens tant sur le plan stratégique que marketing. »
Quand on lui a demandé à quelle date sa situation changera, il a affirmé: « Je pense que je serai en place jusqu’à Melbourne, peut-être. Peut-être que je serai le directeur de l’équipe pour quelques courses puis passer le flambeau à quelqu’un d’autre. »
Lotus devrait annoncer ses deux pilotes à la fin du mois d’octobre, et Fernandes a insisté sur le fait que, malgré le soutien de la Malaisie, il n’y avait pas d’obligation de pilotes originaires du pays. Au lieu de cela, il pense que les efforts de l’équipe seraient mieux récompensés en mettant à bord des monoplaces des pilotes de F1 expérimentés.
« Personnellement, je préférerais essayer de trouver quelqu’un avec beaucoup d’expérience, même un pilote en fin de carrière, qui peut apporter beaucoup sur le développement de la voiture de part son expérience, » a-t-il ajouté. « Une personne qui permet un transfert de connaissances et qui aime travailler avec les gens. Il est inutile de jeter quelqu’un dans le grand bain, s’il n’est pas prêt non plus. »