La FFSA est dépitée de la position française sur un GP de F1
Nicolas Deschaux, le directeur de la Fédération française de sport automobile est dérouté par le fait que certains hommes politiques français ne fassent pas le nécessaire pour obtenir un Grand Prix de France au calendrier de Formule 1. S’exprimant à la suite de l’officialisation de l’échec d’un possible GP à Flins-Les Mureaux, le chef de […]


Nicolas Deschaux, le directeur de la Fédération française de sport automobile est dérouté par le fait que certains hommes politiques français ne fassent pas le nécessaire pour obtenir un Grand Prix de France au calendrier de Formule 1. S’exprimant à la suite de l’officialisation de l’échec d’un possible GP à Flins-Les Mureaux, le chef de la FFSA pense que l’attitude des politiciens à fait du tort au projet.
Il croit que le fait que les pays asiatiques comme Singapour et la Corée du Sud s’investissent autant pour obtenir une course de F1 au calendrier est un exemple à suivre en France : « Dans ce contexte économique, la Corée du Sud se mobilise pour accueillir un Grand Prix de Formule 1 en 2010. C’est surprenant car là-bas ce sera le troisième plus grand événement médiatique au monde après les Jeux Olympiques et la Coupe du monde. En France, tout ceci est dénigré par certains hommes politiques, » a indiqué Deschaux dans un communiqué.
« Le dynamisme des pays asiatiques est indéniable, et la volonté de certains pays comme le Japon, la Malaisie, Singapour depuis 2008, la Chine depuis 2004, d’accueillir un Grand Prix démontre que ce type d’événement n’est pas du tout, comme certains le prétendent, une image du passé. Au contraire, elle est un symbole de la capacité d’un pays à accueillir des manifestations mettant en avant une technologie particulièrement élevée. »
Deschaux a déclaré que la FFSA « regrette » le fait que le gouvernement français n’ait pas fait davantage pour obtenir le retour d’un événement au calendrier.