Où en est Renault à J-30? Piquet l’ignore…
Nelsinho Piquet a déclaré qu’il était difficile de prévoir le degré de compétitivité de Renault pour la première épreuve de la saison en Australie. L’équipe française, championne du monde en 2005 et 2006, a dû surmonter de nombreuses difficultés l’année dernière, terminant en troisième position au classement constructeur et n’ayant fait qu’un seul podium. Leur […]


Nelsinho Piquet a déclaré qu’il était difficile de prévoir le degré de compétitivité de Renault pour la première épreuve de la saison en Australie.
L’équipe française, championne du monde en 2005 et 2006, a dû surmonter de nombreuses difficultés l’année dernière, terminant en troisième position au classement constructeur et n’ayant fait qu’un seul podium.
Leur nouvelle voiture, la R28 et le retour de Fernando Alonso a eu pour conséquence de redonner espoir à Renault pour 2008 même si l’Espagnol a dit en début de saison que l’écurie était loin derrière Ferrari et McLaren.
Piquet admet qu’il est difficile de dire où se trouve Renault à ce jour.
« C’est très difficile à prédire. Tout le monde se pose la même question. Certains jours, nous sommes plus rapides que BMW ou que Williams et d’autres jours, c’est l’inverse. Il est donc difficile de prévoir quelque chose, » a déclaré Piquet aux journalistes au cours des essais de Jerez.
« L’année dernière nous avons toujours essayé de nous comparer par rapport aux autres équipes, notamment celles qui faisaient rêver tout le monde en l’occurrence McLaren et Ferrari. Au final, nous étions très loin. »
« En 2007, nous avons appris quelque chose de très important : Ne jamais considérer notre position comme dramatique car que nous soyons rapides ou non, nous savons que nous sommes toujours à 100 pour cent pour faire en sorte que la voiture se comporte du mieux possible. »
« Donc, pour être honnête, certains jours, je pense que nous sommes très bons et que d’autres, nous le sommes un peu moins. Cela dépend de ce que chacun fait, » a-t-il poursuivit.
« Notre plan est de nous améliorer. Et combien d’équipes se trouvent derrière nous, ça nous le saurons qu’en Australie. »