
Lors des trois premiers Grand Prix, Red Bull s'est montré très friable sur la fiabilité. Trois abandons en trois courses, dont deux pour le leader de l'équipe Max Verstappen, pendant que Ferrari était irréprochable à ce sujet. Avec deux victoires dans cet intervalle, Charles Leclerc prenait le large au championnat du monde et comptait jusqu'à 46 points d'avance après le Grand Prix d'Australie.
Six courses plus tard, le constat est terrible pour Leclerc et la Scuderia. C'est désormais Max Verstappen qui mène largement le championnat avec 49 points d'avance sur le Monégasque. Sergio Pérez s'est même intercalé entre les deux rivaux présumés, le Mexicain compte trois unités d'avance sur Charles Leclerc, 3e du classement.
Malgré ce retard important au championnat alors que neuf courses sont maintenant passées, Leclerc garde confiance et est même motivé par cet écart. « Ça me motive, parce que je connais le rythme de ma voiture. Je ne suis pas inquiet, je suis juste extrêmement motivé d'enfin avoir un week-end propre et montrer que nous sommes là et que nous sommes forts. »
Touché à deux reprises par des problèmes mécaniques, autant de fois que les deux pilotes Red Bull, Charles Leclerc sait que la fiabilité peut toujours avoir un rôle à l'avenir. « Évidemment, Red Bull a aussi eu quelques problèmes. Donc vraiment, la fiabilité sera quelque chose d'important. Mais c'est ce dont nous avons besoin. Lorsque nous avons des week-ends plus difficiles, comme ce week-end, il faut juste prendre des bons points. C'est ce que nous avons fait. »
Même si rien n'est encore joué puisqu'il reste plus de la moitié des Grand Prix à disputer (13), il faut maintenant que Charles Leclerc et surtout Ferrari soient irréprochables pour combler cet écart. Car face à un pilote comme Max Verstappen, ce sera encore plus compliqué.
Six courses plus tard, le constat est terrible pour Leclerc et la Scuderia. C'est désormais Max Verstappen qui mène largement le championnat avec 49 points d'avance sur le Monégasque. Sergio Pérez s'est même intercalé entre les deux rivaux présumés, le Mexicain compte trois unités d'avance sur Charles Leclerc, 3e du classement.
Malgré ce retard important au championnat alors que neuf courses sont maintenant passées, Leclerc garde confiance et est même motivé par cet écart. « Ça me motive, parce que je connais le rythme de ma voiture. Je ne suis pas inquiet, je suis juste extrêmement motivé d'enfin avoir un week-end propre et montrer que nous sommes là et que nous sommes forts. »
Touché à deux reprises par des problèmes mécaniques, autant de fois que les deux pilotes Red Bull, Charles Leclerc sait que la fiabilité peut toujours avoir un rôle à l'avenir. « Évidemment, Red Bull a aussi eu quelques problèmes. Donc vraiment, la fiabilité sera quelque chose d'important. Mais c'est ce dont nous avons besoin. Lorsque nous avons des week-ends plus difficiles, comme ce week-end, il faut juste prendre des bons points. C'est ce que nous avons fait. »
Même si rien n'est encore joué puisqu'il reste plus de la moitié des Grand Prix à disputer (13), il faut maintenant que Charles Leclerc et surtout Ferrari soient irréprochables pour combler cet écart. Car face à un pilote comme Max Verstappen, ce sera encore plus compliqué.