Arrêt du moteur Renault F1 : « une perte de compétences, de savoir-faire » selon la députée Claire Lejeune
F1. Mobilisée aux côtés des employés de l'usine de Viry-Châtillon, Claire Lejeune déplore les potentielles conséquences de l'arrêt de la production des moteurs de F1 de Renault. Au-delà de la perte d'un "savoir-faire" historique, cela aurait un impact fort sur la situation économique du territoire.
Au plus près. Depuis l'annonce de l'arrêt des moteurs Renault dédiés à la Formule 1, Claire Lejeune apporte un soutien indéfectible aux membres de l'usine de Viry-Châtillon. La députée de la septième circonscription de l'Essonne est présente à chaque mobilisation des salariés, que ce soit devant l'usine ou à Boulogne-Billancourt, siège du groupe.
Vous avez été présente à plusieurs rassemblements des employés de l'usine, c'est une cause qui vous touche...
J'ai été alertée sur le dossier cet été lorsque les salariés ont appris la nouvelle. Très rapidement, j'ai pris contact avec les syndicalistes et les membres du CSE parce que, même du point de vue de la brutalité de la décision, ce sont des choses qui sont intolérables.
Renault bénéficie d'aides publiques, il y a un devoir du côté des dirigeants de Renault de maintenir des emplois et de ne pas provoquer une casse industrielle comme ils le font ici.
Que représente à vos yeux le moteur Renault ?
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