Lando Norris satisfait après Monza : « Nous avons fait des progrès »
Longtemps coincé derrière Alexander Albon (Williams) et incapable de le dépasser, Lando Norris s'est contenté d'une 8ème place à l'arrivée et de 4 points sur un circuit qui ne convenait pas parfaitement aux McLaren.


À Monza, la hiérarchie attendue a été respectée. Derrière Red Bull, Ferrari et Mercedes, difficile pour les deux autres membres du peloton de tête, Aston Martin et McLaren, de rivaliser. Parti de la 9ème place, Lando Norris a finalement gagné une petite position à l’arrivée d’une course durant laquelle il est longtemps resté derrière la Williams d’Alexander Albon.
« P8, ça fait quelques points. Nous espérions peut-être un peu plus. Mais il y a eu des moments où nous nous attendions à ne même pas être dans les points. Donc je suis content », s’est satisfait le Britannique.
Sur un circuit rapide, le pilote britannique s’est satisfait de la performance de sa monoplace, d’autant qu’à Spa, la faiblesse de la MCL-60 avait été mise en évidence sur un tracé à très haute vitesse.
« Nous avons fait des progrès sur les circuits avec peu d’appui. »
« C’est bien de voir les progrès que nous avons faits sur un circuit à faible force d’appui », déclare Norris, qui est également revenu sur son incapacité à dépasser Albon. « Bravo à Alex, qui a fait une très bonne course », reconnait-il.
Le Thaïlandais, au volant d’une FW45 très rapide, a défendu sa 7ème position durant près de la moitié de la course face au pilote McLaren. « La Williams ne nous a peut-être pas permis d’obtenir autant de points que nous aurions pu le faire. Mais il [Albon] a fait une bonne course. Le rythme était bon. Mais les dépassements étaient trop difficiles. »
Un Norris satisfait donc, mais surtout obligé de reconnaître la supériorité des Williams dans ce duel : « J’ai beaucoup essayé. Mais ils étaient trop rapides pour nous dans les lignes droites. »
Aussi, le pilote de 23 ans est content qu’il ne reste « plus qu’un seul circuit à faible appui » au calendrier, celui de Las Vegas.