Alonso : "Dépasser reste difficile"
2022 a vu apparaître toute une série de nouvelles règlementations, visant à rendre les duels plus intéressants sur la piste. Mais si les systèmes mis en place devaient permettre des poursuites plus faciles, Fernando Alonso estime que les dépassements ne sont toujours pas chose aisée.
Rédigé
pPar
Laure Martinez
Le 22/03/2022 à 14:46, archivé
Les règles 2022 ont imposé un appui aérodynamique différent aux monoplaces. Les nouveautés doivent permettre aux voitures de se suivre entre elles, sans que les pilotes ne perdent trop d’appui à cause de l’air sale rejeté par la première.
Au lendemain du premier Grand Prix de la saison, bon nombre de pilotes ont pu constater les effets de ces mesures. La plupart d’entre eux a admis l’amélioration des poursuites sur la piste. La question est désormais de savoir si cela est suffisant pour faciliter les dépassements. Le pilote Alpine Fernando Alonso a donné son avis.
« Se suivre est définitivement plus facile. Nous l’avions déjà observé lors des essais, mais dépasser n’est pas aussi simple que ce que l’on voit à la TV. », a expliqué l’Espagnol. « Je pense que tous les dépassements que nous avons vus [lors du GP de Bahreïn] sont dus au fait que l’une des voitures avait plus de rythme en gommes neuves que les autres. J’ai rencontré des voitures en étant plus rapides de deux secondes que j’ai pu dépasser dans quelques virages. Mais j’en ai vu d’autres qui roulaient deux secondes plus vite que moi et qui m’ont doublé dans deux ou trois virages. », a-t-il poursuivi.
Alonso préfère toutefois attendre quelques courses avant d'en tirer des conclusions. Contrairement aux saisons précédentes, il est plus difficile de doubler malgré que les monoplaces soient proches.
« Je pense que le choix des pneus est le facteur le plus important, pas la poursuite. Donc nous verrons, nous devons faire plus de courses. » a déclaré Fernando Alonso.
Au lendemain du premier Grand Prix de la saison, bon nombre de pilotes ont pu constater les effets de ces mesures. La plupart d’entre eux a admis l’amélioration des poursuites sur la piste. La question est désormais de savoir si cela est suffisant pour faciliter les dépassements. Le pilote Alpine Fernando Alonso a donné son avis.
« Se suivre est définitivement plus facile. Nous l’avions déjà observé lors des essais, mais dépasser n’est pas aussi simple que ce que l’on voit à la TV. », a expliqué l’Espagnol. « Je pense que tous les dépassements que nous avons vus [lors du GP de Bahreïn] sont dus au fait que l’une des voitures avait plus de rythme en gommes neuves que les autres. J’ai rencontré des voitures en étant plus rapides de deux secondes que j’ai pu dépasser dans quelques virages. Mais j’en ai vu d’autres qui roulaient deux secondes plus vite que moi et qui m’ont doublé dans deux ou trois virages. », a-t-il poursuivi.
Alonso préfère toutefois attendre quelques courses avant d'en tirer des conclusions. Contrairement aux saisons précédentes, il est plus difficile de doubler malgré que les monoplaces soient proches.
« Je pense que le choix des pneus est le facteur le plus important, pas la poursuite. Donc nous verrons, nous devons faire plus de courses. » a déclaré Fernando Alonso.
