
Ce week-end, la Formule 1 pose ses roues à Monaco pour l'un des Grands Prix les plus mythiques du calendrier. Actuellement deuxième du championnat, le héros local Charles Leclerc compte bien briller à domicile au volant d'une monoplace qui lui permet de jouer la victoire à la régulière. En plus d'affronter ses rivaux et notamment Max Verstappen sur la piste, le pilote Ferrari pourrait devoir faire face à une météo capricieuse.
Selon « The Weather Channel », il existe d'importants risques de pluie pour la journée de dimanche à Monaco. La probabilité d'averses pendant la course est de 70% avec des températures maximales autour des 22 degrés. Pour les journées de vendredi et samedi, les maximales oscilleront aux alentours des 26 degrés. La piste devrait rester sèche pour les séances d'essais libres alors que des orages pourraient éclater pour les qualifications.
Des conditions de piste détrempées ont déjà donné lieu à des courses mythiques dans l'histoire de la F1 en Principauté. En 1972, c'est par exemple dans ces conditions que Jean-Pierre Beltoise remporta l'unique victoire de sa carrière sur BRM. C'est aussi sous la pluie qu'un certain Ayrton Senna se révéla aux yeux du monde entier lors de la course de 1984. Plus proche de nous, les éditions de 1996, date de la seule victoire d'Olivier Panis en F1, et de 1997, où douze monoplaces avaient abandonné sur vingt-deux partants, sont restées dans la légende.
Selon « The Weather Channel », il existe d'importants risques de pluie pour la journée de dimanche à Monaco. La probabilité d'averses pendant la course est de 70% avec des températures maximales autour des 22 degrés. Pour les journées de vendredi et samedi, les maximales oscilleront aux alentours des 26 degrés. La piste devrait rester sèche pour les séances d'essais libres alors que des orages pourraient éclater pour les qualifications.
Des conditions de piste détrempées ont déjà donné lieu à des courses mythiques dans l'histoire de la F1 en Principauté. En 1972, c'est par exemple dans ces conditions que Jean-Pierre Beltoise remporta l'unique victoire de sa carrière sur BRM. C'est aussi sous la pluie qu'un certain Ayrton Senna se révéla aux yeux du monde entier lors de la course de 1984. Plus proche de nous, les éditions de 1996, date de la seule victoire d'Olivier Panis en F1, et de 1997, où douze monoplaces avaient abandonné sur vingt-deux partants, sont restées dans la légende.