Grand Prix d’Espagne 2025 : les chiffres clés d’un rendez-vous stratégique
Du 30 mai au 1er juin, la Formule 1 pose ses valises sur le mythique circuit de Barcelona-Catalunya pour la 52e édition du Grand Prix d'Espagne comptant pour le championnat du monde. Entre records historiques, défis techniques et nouveautés stratégiques, voici les chiffres à connaître sur ce week-end incontournable.


Le tracé catalan, long de 4,675 km, est l’un des plus complets du calendrier, combinant virages rapides et sections techniques. La course s’étend sur 66 tours, soit une distance totale de 308,550 km. Ce circuit exige une parfaite gestion des pneus et un pilotage précis, notamment dans des zones clés comme la courbe Renault ou encore la célèbre courbe du virage numéro 3.
La vitesse moyenne en course tourne autour de 210 km/h, avec environ 62 % du tour parcouru à pleine charge, ce qui en fait un circuit rapide mais aussi tactique.
Les chiffres clés du Grand Prix d’Espagne
52 : Le nombre d’éditions du Grand Prix d’Espagne comptant pour le championnat du monde de F1.
4,675 : En kilomètres, la longueur d’un tour du Circuit de Barcelona-Catalunya.
66 : Le nombre de tours à parcourir pour rallier l’arrivée, soit une distance totale de 308,550 km.
210 : Vitesse moyenne en course (km/h), reflétant le caractère rapide du tracé.
62 % : Portion du tour parcourue à pleine charge, indiquant l’importance de la puissance moteur.
16 : Nombre de virages composant le circuit, dont certains très techniques comme la courbe du virage numéro 3 et la chicane.
1991 : Année de la première édition du Grand Prix d’Espagne sur ce circuit.
6 : Record de victoires détenu par Michael Schumacher, le pilote le plus titré à Barcelone.
1:16.330 : Record absolu du tour en qualification, signé par Lewis Hamilton en 2021.
1:18.149 : Record du tour en course, établi par Max Verstappen en 2023.
2025 : Année d’une nouvelle réglementation imposant une pression plus élevée des pneus pour améliorer la sécurité et la durabilité des gommes.
« Barcelone est toujours un test rigoureux pour toutes les pièces qui composent une voiture de Formule 1, et les pneus ne font pas exception à cette règle », confirme Simone Berra, ingénieure en chef chez Pirelli.