Bruno Michel défend la série… les coûts élevés sont justifiés
Bruno Michel – directeur de la série GP2 – a donner son point de vue sur le budget débloqué pour 2008, 2009 et 2010. Il estime en effet que les sommes utilisées par les équipes pour toute une saison, malgré une augmentation, sera tout à fait utile pour le bien fait de la série. Une […]


Bruno Michel – directeur de la série GP2 – a donner son point de vue sur le budget débloqué pour 2008, 2009 et 2010. Il estime en effet que les sommes utilisées par les équipes pour toute une saison, malgré une augmentation, sera tout à fait utile pour le bien fait de la série.
Une saison complète avec une équipe de GP2 coûte en moyenne environ 1,4 millions d’euros, mais Mr. Michel estime que se chiffre bien qu’important est justifié par la qualité de la discipline, de plus en plus proche de la F1.
« Nous sommes toujours préoccupés par le facteur coût mais il faut garder en tête qu’une monoplace de GP2 est techniquement très avancé », commentait Michel.
« C’est tout à fait ce que l’on doit faire si il faut attirer les meilleures équipes et les meilleures pilotes. Je pense également que le fait d’avoir une vingtaine de course au championnat 2008 nous donne une certaine crédibilité… »
En trois ans seulement, la discipline remplaçante de la Formule 3 – vieillissante – a réussi son pari. Fournir les meilleures pilotes pour la Formule 1. Avec Nakajima, Glock, Rosberg, Hamilton, Kovalainen etc.… le championnat a acquis une place dans les sports automobiles.
« Grace à la qualité de nos courses, nous avons pu attirer les équipes de F1. Elles se sont intéressées à nos pilotes et nous pouvons nous satisfaire de cela. » Continuait le français.
En 2008, le plateau sera le même qu’en 2007 en terme d’équipe. Beaucoup de pilotes vont arriver, mais la principal mesure est l’arrivé de la nouvelle monoplace GP2. Plus performante, elle est la principale cause de l’augmentation des coûts.
« Nous avons fait notre possible pour limiter l’augmentation des couts tout en conciliant performance et intérêt croissant pour la discipline. Et avec de plus en plus de pilotes intéressés, nous avons réussi. »