Alpine en IMSA, il va falloir attendre encore un peu

Lors de la présentation de l'A424 au Mans, Bruno Famin, patron d'Alpine motorsport avait émis de rejoindre l'IMSA en 2025. Ce projet est dans les cartons mais visiblement repoussé.

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Alpine en IMSA, il va falloir attendre encore un peu

Au lendemain d’un résultat probant, Alpine estime avoir passé un cap. À Fuji, l’écurie française a obtenu son premier podium. Ce dernier, selon le directeur de l’équipe, est arrivé bien plus tôt que prévu. En effet, le projet Hypercar est tout récent puisqu’il n’a pas encore terminé sa première saison complète.

Après cette troisième position de l’équipage de la #36, tout le clan Alpine va se concentrer sur la suite et consolider les bases de ce premier bon résultat. Il faudra donc confirmer à Bahreïn dans un peu plus d’un mois. C’est à ce moment que l’on pourra dresser un premier bilan du projet A424.

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Après la dernière manche de la saison du championnat du monde d’endurance, l’équipe basée à Bourges saura dans quelle direction aller.

Les États-Unis et l’IMSA pourraient-ils être sur la route d’Alpine ? Lors de la présentation de l’Hypercar en 2023, Bruno Famin, le patron d’Alpine motorsport avait évoqué cette option pour 2025. Un projet toujours d’actualité ?

« Si un jour, il y a la présence d’une A424 en Alpine, elle doit être corrélée à une activation commerciale ou une stratégie commerciale. Ce n’est pas mon sujet aujourd’hui », nous a répondu Philippe Sinault, patron d’Alpine endurance.

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« Mais si demain Alpine décide d’aller sur le continent américain pour vendre des voitures, on sera prêt. Mais le package technique sera éligible immédiatement. Si un jour, vous voyez une entry list à Daytona par exemple, que l’Alpine est là, vous allez dire « tiens, il y a un projet commercial derrière ». Le but est de ne pas faire un one-shot. »

« Si on me dit « tu vas aller courir en IMSA », je ne vais pas faire la fine-bouche, je vais y aller. » Mais pour investir le continent américain, il faudra augmenter les moyens. Tant humains que financier. Courir de l’autre côté de l’Atlantique représente un budget conséquent puisqu’il y a une dizaine de courses au calendrier chaque saison.

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