Mick Schumacher s'en veut après le Grand Prix du Brésil
Alors qu'il pouvait réaliser son meilleur Grand Prix de la saison, Mick Schumacher a compromis ses chances en heurtant l'Alfa Romeo de Kimi Räikkönen. L'Allemand veut en tirer les leçons.
Rédigé par
Nikola Jelicic
Le 17/11/2021, 13:18, archivé
Schumacher regrette une faute évitable sur Kimi Räikkönen alors que les deux Haas auraient pu pointer non loin des points en début de course.
« C'est vraiment agaçant parce que nous avions suffisamment de rythme pour rester devant les Williams » a déclaré le numéro 47 au micro de Sky Sports. « Je pense que la nature de ses virages, qui vont de gauche à droite, nous pousse à chercher le plus d'espace possible. Nous avons touché nos pneus, cela a provoqué un petit survirage et mon aileron avant a touché Kimi. C'est vraiment dommage mais, à mon sens, ces petites choses négatives sont parfois utiles. Dorénavant, je sais où est la limite. » a conclu l'Allemand, plein de maturité.
Cet accrochage est d'autant plus ironique puisque jeudi dernier, en conférence de presse, Schumacher regrettait de ne jamais avoir eu une vraie opportunité de duel face au doyen de la grille, ce dernier ayant répondu, plein d'humour, qu'il pouvait ralentir pour que les deux hommes puissent pouvoir se battre.
Mais si Michael Schumacher a probablement livré deux de ses plus beaux duels roues contre roues face à Iceman au Brésil (en 2006 puis en 2012), son fils ne gardera pas un excellent souvenir de sa bataille avec Räikkönen sur les terres d'Ayrton Senna.
A présent, il ne reste que trois Grand Prix à l'écurie Haas pour tenter d'inscrire, tant bien que mal, son premier point de la saison.
« C'est vraiment agaçant parce que nous avions suffisamment de rythme pour rester devant les Williams » a déclaré le numéro 47 au micro de Sky Sports. « Je pense que la nature de ses virages, qui vont de gauche à droite, nous pousse à chercher le plus d'espace possible. Nous avons touché nos pneus, cela a provoqué un petit survirage et mon aileron avant a touché Kimi. C'est vraiment dommage mais, à mon sens, ces petites choses négatives sont parfois utiles. Dorénavant, je sais où est la limite. » a conclu l'Allemand, plein de maturité.
Cet accrochage est d'autant plus ironique puisque jeudi dernier, en conférence de presse, Schumacher regrettait de ne jamais avoir eu une vraie opportunité de duel face au doyen de la grille, ce dernier ayant répondu, plein d'humour, qu'il pouvait ralentir pour que les deux hommes puissent pouvoir se battre.
Mais si Michael Schumacher a probablement livré deux de ses plus beaux duels roues contre roues face à Iceman au Brésil (en 2006 puis en 2012), son fils ne gardera pas un excellent souvenir de sa bataille avec Räikkönen sur les terres d'Ayrton Senna.
A présent, il ne reste que trois Grand Prix à l'écurie Haas pour tenter d'inscrire, tant bien que mal, son premier point de la saison.