Sebastian Vettel s'attaque à un "nouveau problème" de la Formule 1
Sebastian Vettel est réputé pour son engagement aux côtés de causes humaines et environnementales. Cette fois-ci, Vettel demande à la FIA de surveiller les émissions de poussière de carbone des monoplaces.
Rédigé par
Hugo Segato
Le 13/07/2022, 19:48, archivé
Après s'être illustré en Autriche avec un casque au thème apicole pour faire passer un message pour la protection des abeilles, Sebastian Vettel continue de vouloir changer les choses au sein de la Formule 1. Une fois la course terminée, il est apparu au micro le visage noirci par un élément assez nocif pour la santé : de la poussière de carbone. Cette poussière est créée lors des phases de freinage par la friction entre les disques et les plaquettes, toutes deux en carbone.
Le problème était moindre les années passées, car la poussière était évacuée vers les roues pour s'y déposer. Malheureusement, en 2022, les nouvelles réglementations techniques des monoplaces font que la poussière est extraite en hauteur et se retrouve projetée vers l'arrière et dans le cockpit. Vettel souhaite que la FIA se penche sur ce problème afin d'éviter des dégâts sur la santé des pilotes, des spectateurs, et sur l'environnement.
« C’est une chose sur laquelle je pense qu’ils doivent travailler parce qu’à cause du design des écopes de freins cette année, l’essieu avant souffle toute la poussière de freins sur nos visages et ce n’est pas bon. » a expliqué Sebastian Vettel au micro de Sky Sports.
« La poussière de carbone n’est pas vraiment quelque chose de sain à respirer. J’espère que la FIA se penchera là-dessus très bientôt, car c’est inutile et facile à changer. »
Ce n'est pas un problème vraiment d'actualité. Les freins de voitures de course étant très souvent en carbone-céramique, il n'est pas étonnant de retrouver ce phénomène dans toutes les compétitions automobiles. En 2019, par exemple, Valtteri Bottas avait avoué souvent éternuer de la poussière noire.
Le problème était moindre les années passées, car la poussière était évacuée vers les roues pour s'y déposer. Malheureusement, en 2022, les nouvelles réglementations techniques des monoplaces font que la poussière est extraite en hauteur et se retrouve projetée vers l'arrière et dans le cockpit. Vettel souhaite que la FIA se penche sur ce problème afin d'éviter des dégâts sur la santé des pilotes, des spectateurs, et sur l'environnement.
« C’est une chose sur laquelle je pense qu’ils doivent travailler parce qu’à cause du design des écopes de freins cette année, l’essieu avant souffle toute la poussière de freins sur nos visages et ce n’est pas bon. » a expliqué Sebastian Vettel au micro de Sky Sports.
« La poussière de carbone n’est pas vraiment quelque chose de sain à respirer. J’espère que la FIA se penchera là-dessus très bientôt, car c’est inutile et facile à changer. »
Ce n'est pas un problème vraiment d'actualité. Les freins de voitures de course étant très souvent en carbone-céramique, il n'est pas étonnant de retrouver ce phénomène dans toutes les compétitions automobiles. En 2019, par exemple, Valtteri Bottas avait avoué souvent éternuer de la poussière noire.