Courir en Arabie Saoudite est important pour Stefano Domenicali
Le Grand Prix d’Arabie Saoudite a rejoint le calendrier officiel de la Formule 1 en 2021, mais les événements de la seconde édition ont semé le doute sur l’avenir de ce Grand Prix. Pour Stefano Domenicali, il est important de continuer à rouler dans ce pays.
Rédigé par
Laure Martinez
Le 05/04/2022, 12:39, archivé
Dimanche 27 mars, les pilotes de Formule 1 se sont alignés sur la grille de départ du Grand Prix de Djeddah. Pourtant, des événements ont bien failli les en empêcher.
Deux jours avant le Grand Prix, une explosion a retenti dans la zone du circuit. Le site pétrolier d’Aramco, situé à seulement quelques kilomètres de la piste a subi une attaque de drones. Des sources ont révélé peu de temps après qu’il s’agissait d’une frappe des rebelles Houthis, sept autres drones ayant été interceptés par les autorités locales.
Le soir même, pilotes, responsables d’écuries et membres de la FIA se sont réunis pour débattre du maintien ou non de la course. Si les pilotes ont bel et bien pris le départ, la question se pose quant à l’avenir du GP dans ce pays. D’un côté, le ministre des Sports saoudien a déclaré être ouvert à la discussion, que cela concerne le tracé ou la sécurité du circuit. De l’autre, le président de le Formule 1, Stefano Domenicali, estime qu’il est important de continuer à courir en Arabie Saoudite.
« Cela fait partie de notre travail de discuter avec toutes les parties prenantes. Le rapport est extrêmement important pour nous, tout comme le dialogue ouvert. » a expliqué Domenicali. « Si vous étiez là le week-end dernier, alors pouvez comprendre ce que je veux dire. La jeune génération, les femmes présentes, les enfants. N’oubliez pas que quelques années auparavant, ils n’avaient pas le droit de sortir. » a révélé le président de la Formule 1.
Le sport joue un rôle considérable dans l’évolution des mentalités, c’est l’une des raisons pour lesquelles Domenicali tient à conserver l’Arabie Saoudite au calendrier.
Deux jours avant le Grand Prix, une explosion a retenti dans la zone du circuit. Le site pétrolier d’Aramco, situé à seulement quelques kilomètres de la piste a subi une attaque de drones. Des sources ont révélé peu de temps après qu’il s’agissait d’une frappe des rebelles Houthis, sept autres drones ayant été interceptés par les autorités locales.
Le soir même, pilotes, responsables d’écuries et membres de la FIA se sont réunis pour débattre du maintien ou non de la course. Si les pilotes ont bel et bien pris le départ, la question se pose quant à l’avenir du GP dans ce pays. D’un côté, le ministre des Sports saoudien a déclaré être ouvert à la discussion, que cela concerne le tracé ou la sécurité du circuit. De l’autre, le président de le Formule 1, Stefano Domenicali, estime qu’il est important de continuer à courir en Arabie Saoudite.
« Cela fait partie de notre travail de discuter avec toutes les parties prenantes. Le rapport est extrêmement important pour nous, tout comme le dialogue ouvert. » a expliqué Domenicali. « Si vous étiez là le week-end dernier, alors pouvez comprendre ce que je veux dire. La jeune génération, les femmes présentes, les enfants. N’oubliez pas que quelques années auparavant, ils n’avaient pas le droit de sortir. » a révélé le président de la Formule 1.
Le sport joue un rôle considérable dans l’évolution des mentalités, c’est l’une des raisons pour lesquelles Domenicali tient à conserver l’Arabie Saoudite au calendrier.