La fidélité a fini par payer

Cette année, il est clairement monté en puissance. En 2022, Sergio Perez a accentué sa progression et parvient de plus en plus à concurrencer son coéquipier, que ce soit en course ou bien en qualifications, ce qui était jusqu'à présent son défaut.

Avec sa pole à Djeddah, il a prouvé qu'il n'était pas qu'un simple numéro 2. Ses performances sur les derniers Grand Prix le prouvent encore plus. Malheureusement, tout son travail ne paye pas tout le temps, en raison de quelques consignes d'équipe.

En Espagne par exemple, Max Verstappen qui semblait plus en difficulté par rapport au Mexicain, l'emporte tout de même, après que Perez ait reçu l'interdiction de se batailler pour la victoire avec son coéquipier. Il l'avait d'ailleurs fait savoir.

Mais, à Monaco, les pendules ont été - un peu - remises à l'heure. Même s'il est le responsable du drapeau rouge, il devance ...