Frederic Vasseur confiant sur la deuxième partie de saison
La première partie de saison vient de se terminer, la Scuderia Ferrari est en 4e position du classement constructeurs. L'équipe italienne a pour objectif de comprendre pourquoi la monoplace fonctionne mieux sur certains circuits que d'autres.


Ferrari est la 4e équipe de la grille de Formule 1. L'équipe Italienne n'arrive pas à enchaîner les bons résultats. L'écurie basée à Maranello n'a obtenu que trois podiums sur la première partie de saison.
Après le Grand Prix de Belgique, qui annonce la trêve estivale pour le championnat du monde de F1, Frederic Vasseur est confiant pour aborder la deuxième partie de saison. La trêve devrait permettre à l'équipe au cheval cabré de mieux comprendre la voiture.
Un plateau resserré
« Il y a un dixième ou deux entre la P2 et la P11, ce qui signifie que vous pouvez avoir une course très bonne ou une mauvaise course en fonction des caractéristiques de gestion des pneus ou du niveau d'appui que vous choisissez au début du week-end sans que nous ne puissions tirer une conclusion définitive », a expliqué le directeur de l'écurie italienne.
Pour Ferrari, le week-end de Spa a été très bon avec un podium de Charles Leclerc. Frederic Vasseur est satisfait de cette manche belge. « En pneus pluie, intermédiaires, en slicks, pendant les longs runs ou les relais courts. Nous étions toujours là ! Et c'est bon pour nous », affirme le Français de la Scuderia Ferrari.
Trois semaines de travail
Les ingénieurs italiens ont maintenant trois semaines pour comprendre pourquoi la SF-23 performe sur certains circuits plus que d'autres. « Cela vaut aussi pour tout le monde, nous sommes tous un peu incohérents. Nous avons eu la même réunion il y a une semaine et nous étions au bout du monde pendant que McLaren volait », raconte l'ancien directeur de l'écurie Alfa Romeo.
Carlos Sainz et Charles Leclerc sont efficaces lors des week-ends de course sprint. Selon Frederic Vasseur, il y aurait plusieurs explications à cela. « La première raison pourrait être que nous avons une meilleure préparation que certains de nos concurrents. Pour la deuxième raison, c'est peut-être grâce à aux caractéristiques de la piste, car il y a des similitudes entre Spielberg, Bakou et Spa, mais je ne sais pas si c'est la bonne conclusion que nous devons considérer. »